Je vous propose de découvrir la conférence d’Olivier Delamarche tenue en Avignon fin 2011 et filmé par David Arrouays. Il revient sur les causes de la crise économique actuelle et présente un panorama détaillé de la situation actuelle.
Je remercie vivement David Arrouays, esthète inspiré devant l’éternel, pour sa vidéo et son idée salvatrice du Sumol, parfum ananas.
Bonjour.
Je ne suis pas tout a fait d’accord avec Olivier Delamarche.
1er point je trouve un peu hypocrite de voir des économistes qui semblent se réveiller alors que ce qui se passe était prévisible. Beaucoup comme lui ne pouvant plus avoir un discours rassurant sans risquer de perdre leur crédibilité, adopte ce discours alarmiste…
2ème point, il considère que le système marchait bien avant la crise avec des phases récession / croissance… La pas du tout d’accord, le système ne marchait pas bien. La machine à créer de la dettes publique auprès des banques existe depuis des décennies et arrive à maturité. Le fruit est mur pour le plan finale qui consiste à solder l’état sociale (santé, éducation, retraite etc….). Tout cela au nom de la rigueur.
Voir le libre de Perkins : confession d’un assassin économique.
3ème point : la BCE de part son taux directeur plus fort ne permet pas d’empécher le système de chauffer, mais de protéger les rentier qui ont du cach d’une inflation et hausse des salaires des plus pauvres.
La BCE ne sert pas à mettre du liquide de refroidissement, mais à empécher le développement des salaires, le plein emploi etc… sources profit plus bas pour les patrons et les rentier.
Je n’ai pas la place ni le temps de plus m’étendre, mais je renvoi à mon site et au propos d’Etienne Chouard qui est plus pertinent pour moi sur ces points.
Merci, de m’avoir lu, merci à Olivier Delamarche de rompre un peu l’omerta… mais peut faire mieux…
Merci de votre avis critique, ce sont souvent ceux qui permettent d’avancer. Je vous propose également l’entretien que m’a accordé Étienne Chouard sur mon site ici : http://editionsduverbehaut.fr/chouard/
Merci à vous.
Sylvain