Ce sang qui nous lie, matriarcat, patriarcat, sacrifice
22,00€
Édition définitive.
Véritable enquête sur l’histoire de la figure paternelle, ce livre nous entraîne dans une passionnante aventure : celle de la création des civilisations. L’étude de nombreuses communautés, du monde primitif à nos jours, et leur comparaison poussent l’auteur à dégager un nouveau concept, celui du « matriarcat sacrificiel ». Articulant trois niveaux d’analyse, la famille, la politique et le religieux, Ce sang qui nous lie remet au cœur du processus culturel les notions de sacrifice et de violence. Cette dernière serait donc, comme l’a montré René Girard, le fondement des sociétés. Mais la violence est-elle inhérente au patriarcat ? Une société plus féministe mènerait-elle vers plus de paix et de bonheur ? L’égalité totale entre les sexes provoquera-t-elle un nouveau monde meilleur ? Qui sera le bouc émissaire ? Qui cimentera la communauté mondiale face au désordre à venir ? Tant de questions qui sont, en filigrane, traitées dans ce livre, et nous sommes loin de la pensée unique ou du politiquement correct. Sans concession, l’auteur parvient à dégager deux mondes qui ne cessent de s’affronter : celui de l’archaïque indifférencié face à celui de la complémentarité incarnée.
Loin des stéréotypes actuels, cette nouvelle approche permet de répondre à une question fondamentale de notre époque : allons-nous vers un matriarcat postmoderne ? Et à la lecture de ce livre, on serait tenté de répondre par l’affirmative.
Dans ce livre, Sylvain Durain a notamment établi le concept de « matriarcat sacrificiel ». Il est également l’auteur de La fin du Sacré, aux éditions de La Nouvelle Librairie (2022) et de René Girard, du désir à la violence (2024), aux Éditions du Verbe Haut.
ISBN : 9782491187484
Le livre qui a vu naître le concept de “matriarcat sacrificiel”.
Diane Duval –
Ce livre est une profonde étude analytique des systèmes patriarcaux et matriarcaux dans l’histoire, et leur évolution. Il est excellent pour comprendre ce sujet essentiel (lié à la fois à l’aspect familial, politique et religieux) et pouvoir répondre sérieusement aux féministes et autres progressistes.
Florian (auteur Raymi) –
C’est une des pierres angulaires du travail de Sylvain Durain.
Successeur du travail de René Girard (comme lui avait prolongé et “achev[é] Clausewitz”, ce “Sang qui nous lie” est évidemment le sang des victimes émissaires, des sociétés primitives au Sang des sangs, celui de Jésus-Christ.
Notre époque révolutionnaire est un progrès, c’est-à-dire un retour aux sociétés primitives… matriarcales et non patriarcales (qui est basée sur le Christ).
Fort bien entouré par Pierre Hillard et Charles Robin (dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es), ce livre est une introduction pour tous ceux qui se posent des questions sur ce monde en déliquescence, une pierre de plus pour ceux qui sont déjà dans l’esprit contre-révolutionnaire ; surtout un savant travail de fond. Nous devons remettre le labeur au cœur de nos esprits. Ce livre est une participation efficace.
Nous devons permettre aux plus jeunes éléments du clan de la Tradition d’émerger et de faire corps sous les conseils des anciens. La filiation, par le sang (christique) qui nous lie.
Alexis F. –
« Véritable enquête sur l’histoire de la figure paternelle, ce livre nous entraîne dans une passionnante aventure : celle de la création des civilisations », lit-on en quatrième de couverture et véritablement la promesse est tenue. Mais l’auteur ne se contente pas de traiter de la figure du père dans une anthropologie des sociétés présentées, abordant de front l’organisation de celles-ci à travers une triple grille de lecture (familiale, politique et religieuse), il conduit son lecteur à s’interroger sur les causes des évolutions civilisationnelles que connaît le monde occidental en cette ère de post-modernité, ce que n’a pas manqué de relevé Pierre Hillard dans sa préface : « l’intérêt du livre de Sylvain Durain est de souligner que les bouleversements des structures religieuses héritées du catholicisme conduit irrémédiablement à un retour, à la fois tribal, mais aussi en mettant à bas le rôle de l’homme ».
S’il est un « état de nature » pour le nouveau-né, à contrario du sentiment bien connu de l’auteur du Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, il n’est pas à trouver dans un hypothétique état pré-civilisationnel mais au sein du premier corps social de l’individu, la famille, et un des points forts appréciables de l’ouvrage de Sylvain Durain est précisément de s’attaquer au déterminisme social induit par l’appartenance [ou non] à ce qu’il appelle « système matriarcal complet » ou « matriarcat sacrificiel », concept clé qui, à la suite des travaux de Réné Girard, porte intelligemment le lien sur les trois niveaux d’études.
Jean-Luc WILLEQUET –
L’essai de Sylvain DURAIN est un travail remarquable sur la question centrale du rôle du Père dans l’histoire et à travers le monde. La grande trouvaille de cet essai est son concept des “trois niveaux” qui permet de valider ou non, si une société est patriarcale ou pas: niveau familial, politique et spirituel. En tant que français de l’étranger, ayant passé beaucoup de temps en Afrique et en Asie, ceci m’a permis de comprende l’impasse de ces deux sphères civilisationnelles où malgré les apparences, le “matriarcat sacrificiel” règne en maître. Enfin, pour les amoureux de notre pays et les personnes en recherche de sens sur le rôle de la France “comme fille ainée de l’Eglise et éducatrice des peuples”, Sylvain DURAIN démontre à nouveau que nous avions (avec la monarchie catholique) la formule idéale d’une société saine et équilibrée, fondée sur la transcendance sur les trois plans. Il nous reste à la retrouver et à la partager au monde.
Inès-Marie –
Ce livre de Sylvain Durain est un chef d’œuvre! à travers une longue étude anthropologique sur les sociétés primitives jusqu’à nos jours, l’auteur utilisent 3 systèmes primordiaux qui permettent d’identifier avec exactitude si nous sommes en présence d’un système matriarcal ou patriarcal. Il nous explique brillamment les différences entre ces 2 principes et ce que cela engendre. C’est à partir de ce constat que l’auteur démontre avec justesse ce que le Christ a révélé lors de sa Passion.
Consoli François-Xavier –
Un excellent livre qui redonne un sérieux coup de fouet à l’anthropologie en offrant une lecture girardienne de notre époque qui mérite que l’on s’y arrête !
À lire !
COUET.F (client confirmé) –
Un livre au-dessus du lot !
Comment repenser la période pour le moins féministe que nous connaissons ? Que peut-elle nous amener ? Serait-elle un progrès quand bien même nous connaissons la vacuité de cette notion floue ?
Et si par le plus grand des hasards (ou pas bien sûr) la tradition était ce que nous avions de plus novateur ? Bercée dans notre civilisation et à travers les siècles par le christianisme.
Si la direction que prend notre société vous semble parfois un peu brouillonne, sans doute avez vous besoin si non l’envie de lire ce livre . Une chose est certaine : Vous vous endormirez moins bête !
Antoine Bonnet –
Très bon livre avec une approche originale et des images parlantes sur la figure du père, loin de l’idéologie, de l’académisme de la bien-pensance.
Loin des clichés, le livre explique bien les différences entre matriarcat et patriarcat sur trois niveaux : familial, politique et religieux avec un point de vue catholique et intéressant. Tout ceci pour expliquer les tares de notre société, et surtout quelle en est la lointaine et progressive cause.
Pour les hommes, jeunes et moins jeunes, qui veulent comprendre pourquoi ils sont attaqués et à travers eux la figure paternelle
Pour nous Français le choix semble à la fois simple et ardu : préférant Marie à Marianne, soyons des patriarches catholiques pour mieux contrer le matriarcat républicain.
Perceval le Lorrain –
Un ouvrage qui fera date sans aucun doute! Une grande relecture de l’histoire de l’Homme sous un prisme inédit qui permet de comprendre avec une grande acuité l’époque dans laquelle nous vivons et pourquoi les relations entre les hommes et les femmes sont si abimées!
A rebours complet de la doxa, vous découvrirez pourquoi nous vivons dans une ère matriarcale et que les néo-féministes, complètement à l’ouest, lutte contre ennemi imaginaire en renforçant le système dominant.
Découvrez également pourquoi la guerre des sexes est une absurdité, que seule la complémentarité homme / femme, catholique, peut sauver cette société post-moderne à la dérive et, qu’in fine, nous avons là affaire à un ouvrage profondément féministe!
A lire absolument!
Guillaume Bragard –
Un livre qui m’a fait du bien personnellement. J’ai pu mettre le doigt sur une forme de violence que je subissais sans pouvoir la nommer. J’étais victime de “l’indifférenciation” du matriarcat dont parle le livre. Mettre des mots sur certaines situations à pu me permettre de mieux dialoguer avec la gente féminine sans rentrer dans des débats stériles. C’est le livre du moment !
Jordan Boisserie –
Plus qu’un livre c’est une œuvre réalisée par Sylvain avec un contenu très précis. De plus l’approche méthodologique est vraiment innovante avec une lecture à trois niveaux qui s’enchevêtrent, et offrent une grille de lecture pertinente de notre société.
Robin Vaillant –
Il ne s’agit pas d’un simple livre d’histoire ou d’idées comme je l’avais cru avant de le lire. Je pense que “Ce sang qui nous lie” est avant tout un livre d’anthropologie aux multiples inspirations. La synthèse que propose Sylvain Durain, entre Malinowski et Girard, livre des outils assez fascinants pour comprendre notre modernité, et éviter de tomber dans les pièges communs que le féminisme ou le masculinisme tendent à ceux qui veulent réellement entendre ce que sont patriarcat et matriarcat.
Eric –
Excellent livre qui deviendra j’en suis convaincu une référence dans les années à venir. Il trouvera sa place dans les universités au même titre que d’autres livres et sera mis au programme universitaire pour les étudiants soucieux d’approfondir leurs connaissances.