Selon les calculs du GIEC , la France est responsable d’une augmentation annuelle de la température de la terre de 0,000056 °c. Soit une hausse non mesurable.
Or, notre pays dont la dette explose a fait de la lutte contre le réchauffement un pilier de sa politique budgétaire, avec 40 milliards prévus en 2025 et bientôt 66 milliards selon le rapport Pisany.
Le physicien François Gervais montre qu’il n’est tout simplement plus POSSIBLE de continuer à nier ainsi la réalité de ce grand écart.
En reprenant les données et mesures les plus récentes, fournies par les multiples rapports et documents du GIEC, il donne aussi des arguments solides et validés par la communauté scientifique pour faire baisser l’angoisse de « fin du monde » qui pèse sur les populations occidentales.
La pauvreté, la faim et les maladies qui écourtaient la vie sont plus faibles que jamais, et l’espérance de vie en bonne santé s’est allongée en grande partie grâce aux progrès qui n’auraient pu être rendus possibles sans les ressources fossiles, abondantes et bon marché. En un siècle, la population mondiale a quadruplé, l’espérance de vie a plus que doublé, un pourcentage bien plus faible de la population mondiale vit dans la pauvreté tandis que la richesse mondiale a été multipliée par vingt. En grande partie grâce à une consommation d’énergie multipliée par seize, la productivité, l’efficacité énergétique et les rendements agricoles ont progressé.
Physicien, professeur émérite à l’Université de Tours, François Gervais a été directeur d’un laboratoire du CNRS (UMR 6157) et expert reviewer des rapports AR5 et AR6 (2022) du GIEC.
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